Que faites-vous de votre temps ?

oué oué oué
Chère LIse Bartoli docteur en jsais pas quoi
veuillez réviser votre test, c'est juste un conseil

Test
Que faites-vous de votre temps ?

http://www.psychologies.com/tests-de-personnalite.cfm/test/1095/Que-faites-vous-de-votre-temps.html

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Vous êtes toujours débordé(e)

Vous avez un emploi du temps chargé. D’ailleurs, vous vous plaignez de ces journées qui ne font que vingt-quatre heures ! Vous êtes dans l’urgence en permanence, et vous criez haut et fort que vous n’en pouvez plus d’être débordé(e). Même vos amis doivent attendre un créneau pour vous voir ! S’il vous reste une place, tant mieux. Sinon, vous les verrez plus tard… Car vos loisirs aussi sont planifiés. Cette frénésie vous donne-t-elle l’impression de vivre intensément ? Posez-vous pour réfléchir à cette course contre la montre. Que fuyez-vous ? Appréhendez-vous de vous retrouver face à vous-même ? Ce besoin de maîtriser le temps vient peut-être d’une peur de l’avenir ou de la solitude.

Que faire ?

Tentez de lâcher un peu le contrôle. A force d’être sous pression, vous risquez d’installer un stress qui peut vous épuiser et être néfaste pour votre équilibre personnel. Aussi, marquez une pause avant de ressentir les signaux d’alarme que pourrait tirer votre corps ou votre mental. Libérez dans votre agenda des plages de repos et de rencontre avec vous-même. Inscrivez « rêver » ou « flâner ». Bref, apprenez à ne rien faire. Ces moments vous permettront d’analyser vos comportements passés afin de comprendre les raisons de votre agitation. Ils vous apprendront également à vous mettre à l’écoute de vos véritables désirs. Vous pourrez alors programmer… de profiter de la vie et d’être heureux(se).

Par Lise Bartoli, psychologue clinicienne.

Vous vous faites voler votre temps

Vous semblez très sollicité(e), et vous ne rejetez aucune demande ou presque. Même lorsque l’on vous invite à une soirée après une journée harassante, il vous paraît impossible de refuser par crainte de passer pour un(e) égoïste ou de faire de la peine. Toujours au service des autres, vous passez votre temps à écouter ou à réconforter. Parfois, vous courbez l’échine sous le poids de toutes ces requêtes, mais elles vous donnent aussi l’impression d’être utile et entouré(e) d’affection. Méfiez-vous toutefois : cette ferveur risque d’entretenir votre vide affectif.

Que faire ?

Essayez de comprendre pourquoi vous passez votre temps à aider les autres plutôt qu’à vous préoccuper de votre bien-être. Il est possible que vous ayez associé une notion de culpabilité au plaisir personnel. Ou que votre éducation vous ait inculqué le sens du sacrifice et de l’abnégation. Si c’est le cas, tentez de vous défaire de ces injonctions et apprenez à dire non. Ensuite, récupérez ce temps pour vous connecter à vos vrais désirs et vous faire plaisir. Dites-vous que l’on ne peut bien s’occuper des autres que lorsque l’on est en paix avec soi-même. Ne vous en faites pas : vos proches sauront trouver une autre personne pour régler leurs affaires. Et s’ils vous aiment vraiment, ils apprécieront de vous voir profiter de la vie.

Débordé, moi? Bah qu'est-ce que ça serait si je dormais...