Ce que vous répète votre mauvaise conscience…

http://www.psychologies.com/tests-de-personnalite.cfm/test/352/Ce-que-vous-repete-votre-mauvaise-conscience.html


je n'ai pas la force de lire tout ça vu l'heure qu'il est
mais ça me fait oublier mes devoirs un peu et ma déchéances scolaire...

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Ce que vous répète votre mauvaise conscience…

“Sois gentil”

Votre culpabilité s’axe principalement chez vous autour de l’égoïsme.

Vous avez tendance à vivre selon les désirs des autres : vous êtes serviable, toujours prête à aider, à dépanner. Vous vous soumettez aux attentes des autres sans discussion. Le seul problème est que vous sacrifiez ainsi votre bonheur pour le leur.

Penser à vous, dire non, vivre vos propres envies, tout cela relève pour vous de l’égoïsme le plus inacceptable. Et pour cause : ce comportement vous permet de maintenir le lien avec les autres, même si c’est à votre détriment. Pour être “aimable” selon vous, il faut toujours aller dans le sens de l’autre. Mais du coup, vous vivez l’opposition, le refus ou le rejet comme l’équivalent d’un crime, une expression de haine.
Aussi, vous angoissez et culpabilisez à l’idée de ne plus faire ce que l’on attend de vous, et de ne plus correspondre à l’image de parfaite petite personne si dévouée…

Et pourtant, il est fort probable qu’inconsciemment, vous rêviez de tuer à jamais cette image de vous soumise. Mais la peur d’être alors abandonné(e) vous retient. Et sans doute vous a-t-on habilement appris à ne jamais contredire, à penser que vivre pour soi est coupable.

Aussi, un seul conseil : pensez à vous ! Osez dire non, vous consacrer du temps, et vous faire plaisir. Ne vous laissez plus culpabiliser par vous-même et les autres. Il est temps de vivre pour vous.

“Sois gentil”

Votre culpabilité s’axe principalement chez vous autour de l’égoïsme.

Vous avez tendance à vivre selon les désirs des autres : vous êtes serviable, toujours prête à aider, à dépanner. Vous vous soumettez aux attentes des autres sans discussion. Le seul problème est que vous sacrifiez ainsi votre bonheur pour le leur.

Penser à vous, dire non, vivre vos propres envies, tout cela relève pour vous de l’égoïsme le plus inacceptable. Et pour cause : ce comportement vous permet de maintenir le lien avec les autres, même si c’est à votre détriment. Pour être “aimable” selon vous, il faut toujours aller dans le sens de l’autre. Mais du coup, vous vivez l’opposition, le refus ou le rejet comme l’équivalent d’un crime, une expression de haine.
Aussi, vous angoissez et culpabilisez à l’idée de ne plus faire ce que l’on attend de vous, et de ne plus correspondre à l’image de parfaite petite personne si dévouée…

Et pourtant, il est fort probable qu’inconsciemment, vous rêviez de tuer à jamais cette image de vous soumise. Mais la peur d’être alors abandonné(e) vous retient. Et sans doute vous a-t-on habilement appris à ne jamais contredire, à penser que vivre pour soi est coupable.

Aussi, un seul conseil : pensez à vous ! Osez dire non, vous consacrer du temps, et vous faire plaisir. Ne vous laissez plus culpabiliser par vous-même et les autres. Il est temps de vivre pour vous.

Par Anne Schwartzweber.

Finalement j'ai lu et ça me correspond exactement

A l'évidence, je t'ai parfaitement reconnu là-dedans.

“Sois conforme”

Votre culpabilité a fortement à voir avec la morale, la religion, et la loi : toutes ces instances extérieures à vous-mêmes auxquelles vous avez le devoir d’obéir.

Vous avez au plus profond de vous le sentiment qu’un cadre rigide et strict s’impose à vous, ne tolérant aucune entrave à son fonctionnement. Ces entités impersonnelles surveillent chacun de vos pas.

Si vous faites le moindre petit écart (prendre le bus sans ticket, ne pas tenir la porte etc) vous avez la sensation désagréable qu’un être moralisateur vous a vu à votre insu et lâche son verdict : " Ce que tu as fait est mal ".

Inconsciemment pourtant, vous avez un fort désir d’illégalité. Mais ne pouvant l’assumer, vous vous faites un point d’honneur à vivre dans le respect le plus total et à ne pas remettre en question. Vous optez pour la normalité, la non-affirmation de vous-même.

Peut-être est-ce le fruit d’une éducation prônant le respect démesuré. Mais cette peur d’être fautif pourrait bien être lié à la loi œdipienne… Vous avez dans le fond, envie de provoquer l’interdit, mais l’idée de punition est en vous trop angoissante. Vous tombez ainsi dans l’extrême inverse : ne surtout pas offenser la " LOI ", que vous projetez allègrement sur l’extérieur.

Pour apaiser cette culpabilité qui vous empêche de vous révéler pleinement et d’affirmer votre originalité, essayez de rendre votre cadre moral plus souple en vous autorisant de temps à autre à ne pas le respecter, tout simplement.

Plutôt correspondant, dans mon cas.

“Sois serviable”

Votre culpabilité s’organise autour du rappel du malheur des autres.

Vous avez développé une éthique personnelle. Vous avez votre propre loi intérieure, faite des fruits de vos expériences et idées propres. Vous ne cherchez par à respecter une morale extérieure, mais au contraire, c’est à votre propre conscience que vous essayez d’obéir.

Vous gérez bien votre culpabilité : elle n’est ni omnipotente, ni totalement absente. Vous êtes suffisamment droit(e) et égoïste à la fois pour ne pas vous laisser manipuler par ce sentiment parfois invalidant. Ceci, même s’il se rappelle à vous à travers le malheur des autres ou les petits écarts que vous faites de temps à autres par rapport à votre ligne de conduite.

Mais votre grand atout est que la culpabilité que vous ressentez à la vue des sans abris par exemple ou lorsque vous avez été un peu dur avec un ami, ne vous paralyse pas. Au contraire, elle a tendance à vous pousser à l’action et au dépassement de vous-même. Elle est génératrice de créativité : vous passerez donner ces vêtements que vous ne mettez plus au clochard d’en bas, ou proposerez un restaurant à cet ami afin de renouer le dialogue avec lui.

Ainsi, votre culpabilité ne se polarise pas sur un domaine en particulier, pas plus qu’elle ne vous soumet impitoyablement à elle. Elle vous rappelle simplement de temps à autre, la valeur des choses et l’importance de cultiver avec amour chacune d’elles.




Et sans tricher, cette fois...